19 septembre 2007

Il roulait sans permis depuis 30 ans

Plus de trente ans sur la route sans son permis de conduire...C'est lors d'un banal contrôle de routine, à Tavaux, que les gendarmes du Jura ont découvert l'affaire. L'homme de 58 ans avait déjà été contrôlé mais on ne lui avait jamais demandé son permis de conduire. Il conduisait donc depuis plus de trois décennies sans le fameux papier rose.

L'automobiliste a été convoqué devant la justice et devrait être sanctionné. Il sera invité à passer l'examen, qu'il devrait réussir "sans difficulté vu son expérience", ont estimé les gendarmes.

02 avril 2007

Un Double virtuel pour vivre dans le réel

Les Japonais vont créer leur double virtuel pour apprendre à vivre dans le réel. Le spécialiste des jeux et figurines japonais Bandai va lancer au Japon un gadget permettant de créer son "double virtuel", pour analyser les comportements et améliorer les relations humaines dans le monde réel.

Un petit cube muni d'un écran et de plusieurs boutons, appelé "Human Player", rappelle les animaux virtuels "Tamagochi" du même Bandai.

Il est destiné aux 20 à 40 ans. On peut créer un personnage virtuel dont les traits de caractère sont similaires au sien propre, en répondant à une série de questions (date de naissance, sexe, façon de réagir dans des circonstances données...) établies par un professeur de psychologie, Hiroshi Fukushima.

Il a baptisé sa théorie "égogramme" ou "diagnostic de caractère", tous les êtres humains se répartissent parmi 22 catégories de comportement prédéfinies. Si bien qu'une fois classé dans un groupe, le personnage virtuel contenu dans le gadget électronique "intelligent" réagira comme son original dans des situations identiques.

L'utilisateur peut enregistrer jusqu'à 16 individus (lui-même, sa famille, ses collègues, ses amis) sur un seul "Human Player".

En observant la façon d'agir de son sosie virtuel et de ceux de ses proches, chacun peut analyser, comprendre et anticiper son propre comportement ou celui des autres et s'y adapter; dans le but de vivre en meilleure harmonie.

Ces "Human Players" viennent d'être lancés au Japon pour 2.980 yens (environ 20 euros). Bandai espère en écouler 500.000 unités en un an.

17 mars 2007

Les Anglais achètent des livres pour faire joli

Une enquête révèle que plus de la moitié des Britanniques achètent des livres qu'ils ne lisent pas. Et ils sont jusqu'à 35% à laisser tomber leur lecture en cours de route. En tête de ces abandons : leur équivalent du Goncourt.

Nos voisins d'outre-Manche ont tout compris du potentiel décoratif, dans une maison, d'une bibliothèque remplie de livres. Publiée lundi, une enquête menée auprès de 4000 personnes, révèle que plus de la moitié d'entre eux achètent des livres qu'ils ne liront jamais. Et quand ils daignent les ouvrir, bien souvent, ils ne les finissent pas.

Parmi les ouvrages les plus souvent inachevés, figurent Ma vie, l'autobiographie fleuve de Bill Clinton (1024 pages), ou encore le quatrième tome des aventures d'Harry Potter, Harry Potter et le gobelet de feu (734 pages), deux best-sellers mondiaux qui ont laissés en route près d'un lecteur sur trois (30 et 32% respectivement).

Jusqu'à 35% des lectures abandonnées

La biographie de David Beckham My side (404 pages) qui après sa sortie en 2003, avait reçu l'Award de l'autobiographie la plus vendue le plus rapidement, a elle été abandonnée en route par 27% de ses lecteurs. Mais les livres achetés les moins lus sont les mémoires de l'ancien ministre de l'Intérieur David Blunkett et l'ouvrage ayant gagné le Booker Prize (le Goncourt français), Vernon God Little par DBC Pierre, que 35% des lecteurs ont abandonné.

Les Britanniques dépensent en moyenne quelque 4000 livres (6000 euros) en achat de livres durant leur vie. L'enquête révèle aussi que près de la moitié d'entre eux se disent trop fatigués pour lire tous les jours, et 42% confessent qu'ils sont incapables de se concentrer sur des histoires un peu longues.

28 février 2007

Des chercheurs qui lisent dans vos pensées

Des scientifiques affirment pouvoir prédire des intentions

«Pour la première fois, ces technologies nous donnent la possibilité réelle d'aller chercher à la source ce que quelqu'un pense ou ressent, sans qu'il puisse nous en empêcher»

Lire dans les pensées ne sera peut-être bientôt plus de la science-fiction: un appareil d'imagerie cérébrale a permis à une équipe de chercheurs allemands de déterminer les intentions d'un individu, tout du moins lorsqu'il s'apprête à réaliser une tâche simple.

Les volontaires qui ne se doutaient pas une seconde que dans la pièce à côté, des scientifiques tentaient de lire dans leurs pensées, s'apprêtaient soit à compter (addition ou soustraction), soit à presser un des deux boutons à proximité.

Ces travaux, conduits par le Dr John-Dylan Haynes, du centre Bernstein de Berlin, ont débuté en juillet 2005. Bien que d'étendue limitée (seules 21 personnes ont été testées jusque-là), la recherche menée à l'Institut de la cognition et des neurosciences Max Planck à Leipzig (150 km environ au sud-ouest de Berlin), a suscité l'intérêt de la communauté scientifique.

Les chercheurs ont demandé aux participants de choisir entre additionner ou soustraire deux nombres quelques secondes avant que ces nombres ne soient visibles sur un écran. Dans cet intervalle, un ordinateur a retranscrit en images les mouvements cérébraux, de manière à prédire la décision, un modèle suggérant une addition, l'autre une soustraction.

L'équipe de Haynes a d'abord essayé d'identifier la partie du cerveau commandant les intentions. En scannant le cerveau, à la recherche d'une zone d'hyperactivité cérébrale observée lorsqu'un patient a à choisir, ils ont découvert que le centre de commande des intentions se situe dans le cortex pré-frontal. Ensuite, ils ont étudié quel modèle était associé aux différentes intentions.

«Si vous saviez quelles signatures de pensée chercher, vous pourriez en théorie prédire avec plus de précision ce que les gens vont faire», a estimé Haynes.

Pour l'heure, lire les pensées est un processus laborieux et les scientifiques n'ont aucune chance de pouvoir espionner subrepticement un processus de décision: l'étude de Haynes ne concerne que des gens face à deux alternatives, et non confrontés aux innombrables choix de chaque jour.

Mais les scientifiques font suffisamment de progrès pour inquiéter les défenseurs de l'éthique, la recherche étant déjà passée de l'identification des régions du cerveau dans lesquelles apparaissent certaines pensées à l'identification de leur contenu.

«Pour la première fois, ces technologies nous donnent la possibilité réelle d'aller chercher à la source ce que quelqu'un pense ou ressent, sans qu'il puisse nous en empêcher», a déclaré le Dr Hank Greely, directeur du centre Loi et Sciences biologiques de l'Université de Stanford. «Le concept même de garder ses pensées privées pourrait être profondément modifié dans le futur», a-t-il jugé.

Certains s'inquiètent déjà de la portée de ces découvertes qui, à l'image du film de science-fiction "Minority report", pourraient inciter les autorités à agir contre des individus avant même qu'un crime ait été commis. Les Britanniques ont déjà mis en place un fichier ADN qui pourrait aider les autorités à suivre les personnes jugées violentes. De plus, le gouvernement a lancé l'idée de détenir les gens présentant un trouble de la personnalité susceptible pourrait conduire à un comportement criminel.

Malgré toutes ces craintes, Haynes voit pour l'instant des applications pratiques bien plus innocentes. Comme de participer au perfectionnement de machines déjà existantes, capables de répondre aux signaux cérébraux et qui permettent ainsi aux paralysés de changer de chaîne de télévision ou de surfer sur Internet.

Source : Associated Press (AP)

10 janvier 2007

Un bananier qui prédit les chiffres du Loto

En Thaïlande, les touristes et autres gogos facilement amusés se pressent pour aller voir un bananier qui a la réputation de pouvoir prédire les chiffres gagnants du loto.

Les "chercheurs d'or" partent tous visiter Koh Sireh, depuis que court la rumeur d'un arbre magique, rapporte la Phuket Gazette. Le journal indique que cette croyance insolite a permis de développer un certain attrait touristique, attirant entre 100 et 200 visiteurs quotidiens.

Après avoir frotté une mixture bizarre à base de poudre et d’eau sur le tronc du bananier, il faut attendre que la solution sèche pour observer la forme que prend le liquide et noter scrupuleusement le chiffre auquel il ressemble. Beaucoup de gens ont confié avoir gagné de coquettes sommes grâce à cette technique loufoque et sont retournés sur les lieux pour honorer l’arbre.

Source : 7SUR7.BE
 
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